La biographie de Manu Kroupit
Emmanuel Jeantet, dit Manu Kroupit, est un humoriste, comédien et metteur en scène français né en 1965 à Dunkerque.
Très jeune, Manu Kroupit se découvre une passion pour l’univers de la scène, et débute en prenant l’option théâtre au lycée.
Formé par le marionnettiste François Lazzaro, le comédien et metteur en scène Didier Bezace, le chorégraphe Joseph Nadj ou encore l’acteur Jean Bojko, Manu Kroupit débute se carrière en 1989 avec « Le Kroupit Show », un spectacle visuel comique mis en scène par Michel Boulerne.
Il joue ensuite dans « Le brave soldat Chveik » de Jaroslav Hasek avec la compagnie Théâtre Eprouvette, puis tient un rôle dans « Que sont nos enfants devenus », une création de la compagnie Théâtre Eprouvette.
Il co-écrit en 1996 avec Jean Bosko son deuxième one man show, « Cul de sac », un spectacle mêlant univers sonore et performance gestuelle. Il coprésentera par la suite des festivals d’humour en compagnie notammeant de Vincent Roca, Jaq Dau, Jean-Marc Catella, Pierre Aucaigne ou encore Ged Marlon.
Manu Kroupit initie en 2002 le festival des « Petites Rêveries » dans le village de Brinon-sur-Beuvron, dans la Nièvre, en compagnie de Bien-Aimé Berkins. Ce festival propose de réunir les temps d’un festival, toutes les formes théâtrales en milieu rural. S’y sont produit des artistes comme Gustave Parking, Pierre Aucaigne, les Joyeux Urbains, Dau et Catella ou encore Elliot.
En 2010, Manu Kroupit joue dans « Voyageurs Immobiles » de Philippe Genty au théâtre du Rond Point à Paris. Puis il crée son troisième one man show, « FEARS », dans lequel il interprète un violoniste en pleine crise de trac.
Passionné de musique classique, Manu Kroupit met en scène le spectacle musical du Quatuor à Cordes Leonis qui est actuellement en représentation. Il joue dans le même temps son spectacle FEARS en tournée dans toute la France.
Ça tic, ça tac, ça clap et clop, sur une scène dénudée transformée en immeuble farceur, ça cartoone, ça poétise aussi. Le comédien ingénu paumé dans cet espace immense et minuscule, nous la sert Claplinesque.